Réaliser un sondage a son utilité dans de nombreuses situations : une étude universitaire, un retour sur une formation, un avis sur un produit ou un service, etc. Alors qu’il pouvait être fastidieux et compliqué d’organiser un sondage, aujourd’hui, rien de plus simple.
Quelles solutions ?
À l’heure actuelle, il existe des solutions clé en main pour réaliser des sondages ou des questionnaires en tout genre. Toutes reposent sur des principes similaires. Entièrement accessibles depuis un navigateur n’importe où sur le globe, il suffit de saisir des champs et quelques clics plus tard, publier à sa liste de destinataire un sondage lui-même en ligne. Aucune installation n’est nécessaire en local. Autant pour le sondeur que pour les répondants. C’est la magie du SaaS (Software as a Service).
Une fois le sondage réalisé et publié, vous pourrez en temps réel suivre l’évolution de votre enquête à l’aide de divers indicateurs et graphiques, eux aussi, directement au sein du navigateur Web.
La plupart des solutions reposent sur un modèle économique de type freemium qui consiste en une plateforme gratuite d’accès, mais dont certaines fonctionnalités avancées nécessitent une inscription payante. Découvrez ici les avantages et les inconvénients de créer un sondage.
Soyez simple et précis
Une fois votre plateforme choisie, le plus important reste encore à faire, concevoir le sondage en lui-même. Pour que celui-ci soit le plus pertinent, il existe quelques bonnes pratiques et pièges à éviter.
Le premier, c’est tout d’abord de rester dans la simplicité. Il est par exemple préférable de rédiger deux questions courtes, facilement compréhensibles et dédiées à un aspect précis chacune, que de formuler une question longue, pouvant prêter à confusion pour le répondant et englobant différentes problématiques.
Évitez les questions orientées et biaisées
Il faut aussi faire attention aux mots utilisés. Non seulement pour être intelligible de ceux qui répondront au sondage, mais aussi et surtout pour éviter les biais. En effet, certains mots ou formulations peuvent orienter le répondant. Évitez par exemple les adjectifs mélioratifs (positifs) ou péjoratifs (négatifs). Cela risquerait d’influencer le répondant, même inconsciemment. Essayez au maximum de rester neutre dans vos questions.
Reformulez les questions oui/non si possible
Une « erreur » assez fréquente consiste à privilégier les questions binaires oui/non, vrai/faux. Au contraire, préférez les questions amenant une gradation dans les réponses, une échelle de valeurs. Plutôt que « Est-ce que », il est préférable d’employer des « Combien », « A quelle fréquence », « Selon quelle probabilité », etc. Les réponses ainsi obtenues seront beaucoup plus précises et pertinentes.